Nathalie a murmuré : « C’était certainement un malentendu. » Elle prenait totalement le parti d’Annabelle, ne comprenant pas pourquoi Jacques préférait Céline à Annabelle. « Si Annabelle change sa carrière, elle pourrait certainement être un bon mannequin », a dit Nathalie. À ces mots, Luc a hoché sa tête. Annabelle avait blessé son coude, elle n’en avait parlé à personne, supportant la douleur tout au long du tournage. Le travail du studio de tournage se poursuivait, Laura a passé un coup fil à Pascal et lui a honnêtement dit ce qui s’était passé ici. « Monsieur Pascal, Annabelle a vraiment du piston. Son rapport avec Jacques n’est pas aussi mauvais que le monde extérieur le prétend », a dit Laura, pensant que c’était certainement Jacques qui avait intégré Annabelle à la Compagnie MON. « Tu n’as pas besoin d’en tenir compte, retiens bien ce que je t’ai dit », a répondu Pascal d’un ton naturellement calme. « Je vois », a répondu Laura. Cela dit, elle a rangé son télép
Céline a de nouveau fermé la porte de la chambre. Pendant ce temps, dans le salon, il n’y avait que Viviane. Enragée, elle a sorti son portable tout d’un coup et a directement appelé à Annabelle, elle a crié : « J’ai déjà commencé à chercher l’argent comme tu le souhaites, pourquoi as-tu fait tout cela ? Pourquoi m’as-tu trahie ? » Plusieurs secondes après, elle a enfin entendu la réponse d’Annabelle : « Pour rien, par simple plaisir. » Viviane était presque étouffée, elle a serré les dents : « Tu es folle ! Je sais enfin pourquoi Jacques a divorcé d’avec toi ! » « Peu importe, tout compte fait, je ne veux plus être avec lui. » Annabelle a posé la main sous le menton, et mangeait : « Dis donc, j’ai encore un cadeau pour toi, tu vas le recevoir tout de suite. J’espère qu’il te plaira. » « Quoi ? Qu’est-ce que tu as fait ? » Viviane a crié à travers le portable, mais Annabelle avait déjà raccroché. Cette nuit-là, elle a passé une nuit blanche. En pensant à ce cadeau o
« Non ! » Viviane était presque étouffée, la mine livide à cause de la peur. En réalité, elle ignorait complètement ce qu’Annabelle voulait à ce moment-là, et a serré les dents : « Je sais que tu veux de l’argent, je t’en donnerai. » « Je veux deux millions d’euros, tu as deux jours. » Sur ces mots, Annabelle imaginait l’air désemparé de Viviane. Elle a donc raccroché, satisfaite. Viviane ne possèdant pas autant d’argent, elle devait l’emprunter. En y pensant, Annabelle a allumé le portable et a trouvé Fabienne, une autre maîtresse d’Emmanuel, et amie d’Annabelle, qu’elle avait rencontrée en prison. Par hasard, elle avait découvert les relations entre Fabienne et Emmanuel. Elle n’avait alors pas du tout pensé à une histoire aussi compliquée.En fait, Fabienne voulait quitter Emmanuel depuis longtemps, mais Annabelle lui avait demandé de rester encore auprès d’Emmanuel, allant jusqu’à lui donner deux cents mille euros. Fabienne lui avait alors adressé un « Merci, mon amie.
Après être rentrée chez elle, Annabelle a bandé sa plaie avec le matériel acheté à la pharmacie. Malheureusement, elle ne pouvant pas bouger son autre main, elle a de nouveau ouvert sa blessure, ce qui lui fait souffrir le martyre. Bien que cette blessure ne couvre qu’une petite surface, elle était à la fois profonde et douloureuse. Après avoir bien bandé la plaie, elle était en nageet souhaitait se reposer, quannd elle a soudain entendu quelqu’un frapper à la porte. Elle a froncé les sourcils et a levé s’est dirigé vers la porte armée d’un balai : « Qui va là ? » Son quartier n’était toujours pas sécurisé et il y avait souvent des cambriolages. Toutefois, Annabelle étant très pauvre, il n’y avait rien dans son appartement. « C’est moi. » Ayant entendu la voix de Léo, elle a ouvert la porte. « Pourquoi es-tu … » Avant qu’elle ait fini de parler, il l’avait déjà embrassée. À ce moment-là, il y avait une odeur de vin sur lui. Léo, en costume gris, avait un air triste
Une fois sortie des toilettes, il n’y avait aucun bruit dans le salon. Annabelle a baillé et s’est couchée directement. En fait, Léo n’arrivait pas à s’endormir. Couché sur le canapé, il a fait un rire jaune habité par un sentiment à la fois heureux et déçu. Elle avait tellement confiance en lui qu’elle ne le prenait pas pour un homme. Justement à ce moment-là, regardant la lumière s’éteindre, Jacques, resté dans la voiture, avait un air sombre et froid. Après la conférence dans son entreprise, il avait entendu Arthur parler d’un incident et avait vu des taches de sang sur les banderoles. Il était passé par le domicile d’Annabelle, demandant au chauffeur d’entrer dans son quartier mais, par hasard, il avait vu la voiture de Léo. Fronçant les sourcils, il se sentait très déçu et irrité : « Partons. » … Le lendemain matin, quand Annabelle s’est réveillée, Léo n’était plus là. La veille, elle avait été vraiment fatiguée et s’était endormie tout de suite, sans remar
Annabelle était sans aucun doute la première personne à recevoir une telle d’attention et à jouir d’une telle réputation. Elle était tout aussi étonnée, car elle ne travaillait pour la Compagnie MON que depuis un mois. Tout d’un coup, elle a senti d’innombrables de regards jaloux se poser sur elle.Elle s’est tournée vers Pascal, tout sourire, et a réalisé quelque chose. Même si ses compliments lui avaient donné de la joie, elle était aussi devenue l’objetde toute les jalousies à cause de lui. La concurrence au sein de la Compagnie MON était toujours féroce, en plus, Annabelle était toujours entourée de rumeurs. Ce jour-là, Pascal, styliste reconnu, lui avait donné une incroyable opportunité. Elle a froncé les sourcils, sentant clairement que Pascal l’avait fait exprès. « Mais pourquoi ? » Avant qu’elle ne puisse bredouiller quoi que ce soit, il était déjà entré dans le bâtiment avec Laura, la laissant à l’extérieur. « Ne me dérange pas. » Quelqu’un a dit, puis, port
Comme prévu, Jacques l’a amenée dans une ancienne usine abandonnée, couverte de poudre et de suie. C’était la zone la plus sous-développée de toute la ville. Dans les rues, les mouches abondaient et l’odeur y était fétide. Après que la voiture se soit garée, Annabelle a vu le panneau qui se dressait en face d’eux : « Le Groupe d’Univers. » Ce grand nom n’allait pas du tout avec cette ambiance vétuste. Elle fronçait les sourcils : « Pourquoi m’as-tu amenée ici ? » « Ici, c’est justement le Groupe Anna, mais à ta grande surprise, il est devenu une entreprise pour acheminer les ordures. Toutes les ordures de la ville sont concentrées ici », a lentement répondu Jacques , en la guettant.Mais, à sa grande surprise, elle demeurait impassible. Elle a serré les poings, la douleur se faisait de plus en plus vive. Sachant qu’il voulait voir son air désemparé, elle cherchait à garder son sang-froid. Elle s’est tournée vers lui et a demandé : « Et alors ? » Ensuite, elle a
Annabelle ne savait pas du tout ce qu’il voulait faire, elle ne voulait que sortir de ses bras. Mais il était déjà trop tard. Jacques avait déchiré ses vêtements, même si seules ses épaules étaient nues, les autres pourraient imaginer ce qui s’était passé dans la voiture. En plus, ils ne penseraient pas du tout que c’était Jacques qui avait voulu la violer, mais qu’elle voulait le séduire avec une attitude frivole. En fait, il n’avait pas fait des choses intimes, en revanche, il avait embrassé son visage et son cou, avant de lever la main et de la pousser. À ce moment-là, le cœur de Jacques battait violemment. Il devait s’arrêter tout de suite, sinon il tomberait sous son charme et ne pourrait pas résister. Elle a respiré profondément car , à cet instant, il y avait des gens qui les regardaient dans la rue. Les regards méprisants et dégoûtés se posaient sur elle. Elle a baissé les yeux et a aperçu le manteau de Jacques près d’elle, puis, elle l’a porté , a ouvert la por