Annabelle ne savait pas du tout ce qu’il voulait faire, elle ne voulait que sortir de ses bras. Mais il était déjà trop tard. Jacques avait déchiré ses vêtements, même si seules ses épaules étaient nues, les autres pourraient imaginer ce qui s’était passé dans la voiture. En plus, ils ne penseraient pas du tout que c’était Jacques qui avait voulu la violer, mais qu’elle voulait le séduire avec une attitude frivole. En fait, il n’avait pas fait des choses intimes, en revanche, il avait embrassé son visage et son cou, avant de lever la main et de la pousser. À ce moment-là, le cœur de Jacques battait violemment. Il devait s’arrêter tout de suite, sinon il tomberait sous son charme et ne pourrait pas résister. Elle a respiré profondément car , à cet instant, il y avait des gens qui les regardaient dans la rue. Les regards méprisants et dégoûtés se posaient sur elle. Elle a baissé les yeux et a aperçu le manteau de Jacques près d’elle, puis, elle l’a porté , a ouvert la por
Annabelle étant une employée de la Compagnie MON, si elle subissaient des humiliations, cela aurait des conséquences sur la compagnie. « Non. Le spectacle va commencer, à ma grande surprise, Annabelle est tellement compétente que même Jacques est tombé dans son piège » Pascal a ricané, « si j’avais pu faire une telle chose deux année avant … » Ne sachant pas ce qu’il voulait dire, Laura a senti la haine de Pascal et s’est figée de peur. En effet, dans la compagnie, Pascal était toujours un styliste doué et brillant, qui restait gentil envers tout le monde. En plus, ses œuvres étaient si splendides qu’elles pouvaient retourner le monde de la mode, ainsi, la Compagnie MON le prenait toujours pour un génie. Mais seuls ses assistants connaissaient le revers de la médaille. En fait, cet homme était sans aucun doute un fou. Laura, L’assistante de Pascal, savait très bien ce qu’il lui avait demandé de faire auparavant. Elle en avait très peur et n’osait pas dévoiler ses se
Tout à coup, Céline était désemparée. « Tais-toi, je suis toujours fidèle envers mon Jacques ! Je n’ai pas d’amant, mais toi, tu es frivole ! Tu le séduis toujours ! » Elle a pointéAnnabelle du doigt et l’a insulté avec colère. En effet, sa colère a dévoilé son cœur. À la vue de ses réactions, Annabelle a souri et pensait à utiliser cette nouvelle pour irriter Jacques. « Ne ris pas ! » Céline s’est de nouveau ruée sur elle et voulait la gifler, mais cette fois-ci, Annabelle lui a échappé et lui a craché au visage. « Salope ! Comment oses-tu … » Irritée, Céline s’est jetée sur elle et lui a violemment attrapé les cheveux. Mais alors qu’elle hurlait et brandissant les poings, Annie l’a retenue tout à coup : « Madame Blanc, ne faites plus cela. Le réalisateur vous attend. Vous avez obtenu cette opportunité avec beaucoup d’efforts, ne la gâchez pas à cause de cette femme. » Après quoi, Céline s’est enfin calmée et est sortie avec elle. Les deux agents de sécurité se
« Non ! Va-t’en ! » Annabelle criait sans cesse et voulait s’échapper, mais elle ne pouvait pas sortir de la voiture. Tout à coup, elle a mordu le bras d’un homme. « Salope ! » L’homme l’a giflée, il était beaucoup plus fort que Céline. Annabelle est directement tombée par terre, par hasard, son cou a été blessé par quelque chose dans la voiture le sang a commencé a coulé. Paralysée par la douleur, Annabelle ne pouvait plus pousser le moindre cri. « Richard, comment on fait ? » L’homme a craché par terre et s’est tourné vers un autre homme. Justement à ce moment-là, quelques voitures se sont approchées. Ayant entendu cela, Annabelle s’est réveillée , a ouvert les yeux avec difficulté et a vu quelqu’un s’approcher d’elle. Elle a souri : « Léo, tu es enfin venu. » Elle voulait lever la main, mais elle était complètement épuisée. Elle a murmuré avec un ton bas et fragile : « J’ai un peu mal au cou … » Sur ces mots, elle s’est évanouie. « Non ! Annabelle ! » L
Jacques la regardait quand un sentiment complexe a glissé dans ses yeux. Quelques secondes après, il a ricané avec mépris : « Annabelle, j’ai vu toutes les parties de ton corps. » « Salaud. » Elle s’est habillée le plus vite possible et regardait Jacques avec un air fâché. Ensuite, l’infirmière est entrée dans la chambre : « Monsieur, ne dérangez pas cette patiente, elle doit se reposer. » Jacques n’a pas répondu et regardait toujours Annabelle. Il ne pensait qu’à une seule chose : elle était saine et sauve, elle n’était pas morte, elle pouvait encore proférer des insultes. À ce moment-là, ses yeux sont devenus de plus en plus froids. Il posait ses regards froids sur le visage fâché d’Annabelle. Bien que fâchée, elle restait toujours jolie et charmante. « Madame Rouvroy, connaissez-vous ce monsieur ? Sinon, je pourrais faire venir les agents de sécurité de l’hôpital. » a demandé l’infirmière, responsable. Annabelle a respiré profondément : « Oui, je le connais.
À ce moment-là, sa tristesse ne valait rien aux yeux d’Annabelle. Elle a pris une profonde inspiration et a refoulé toutes ses émotions. Puis, elle l’a regardé directement dans les yeux : « Maintenant, pouvez-vous sortir de ma chambre ? Monsieur Breteuil ? » Elle le lui a demandé d’un ton très froid. Jacques cherchait à se calmer, ses yeux étaient emplis de colère : « Si c’est vraiment elle qui a fait cela, je … » Mais avant qu’il ait terminé sa phrase, quelqu’un a ouvert la porte. Léo est entré avec des plats à emporter : « Annabelle, je t’ai acheté le poisson que tu préfères, manges-en. » Tout d’un coup, il a aperçu Jacques au chevet d’Annabelle. Il a posé les paquets sur la table de nuit s’est rué sur lui et lui aattrapé le cou : « Salaud, comment oses-tu rester ici ? Je t’avertis, demande vite à cette Céline de s’agenouiller devant Annabelle et de lui demander pardon ! Sinon, je vais te tuer ! » Jacques s’est également mis en colère, il a levé la bras pour r
Jacques a froncé les sourcils, l’air sombre. « Alors, à part de toi, il y a encore des gens qui se visent les Rouvroy. » Théo a poussé un soupir : « J’ai trouvé toutes ces choses par coïncidence.J’ai aussi vérifié les comptes de ton entreprise. Je me suis aperçu que certains ressemblent à ceux de la famille Rouvroy. » Tout d’un coup, Jacques a réalisé quelque chose : « Théo, qu’est-ce que tu veux dire ? Quelqu’un est en train de me faire exactement ce que j’ai fait à Antoine ? » « Oui, en plus, selon moi, il a probablement vu tout ce que tu avais fait contre la famille Rouvroy, puis, il l’a imité. » Théo a posé ces documents sur la table. En effet, il était très inquiet. En regardant la mine fâchée de Jacques, il a ajouté : « Si c’était une simple compétition commerciale, ce ne serait pas grave, mais maintenant, il y avait encore d’autres éléments. » Jacques a ricané : « Annabelle ? » « Qu’est-ce qu’elle peut faire ? » Il a dit avec mépris, « Après sa sortie de pris
Ce n’était pas la première fois que Jacques demandait à Céline de se reposer, mais elle a senti clairement que son attitude avait changée. Il ne lui avait pas demandé, en revanche, il lui avait fait une proposition. Elle a souri avec un grand plaisir : « Mais Jacques, je veux encore avoir une vie professionnelle. » En fait, elle ne voulait pas dire cela, mais Vincent lui avait demandé d’imiter Annabelle. Bien qu’elle ne le veuille pas, Jacques semblait ravi de son choix, il a hésité un peu : « Demain, je vais envoyer une équipe régler les problèmes de ton appartement, cette nuit, dors ici. Ne t’en fais pas. » Ensuite, il s’est levé et a frappé doucement son épaule, c’était la première fois que Céline a senti la douceur de ses mains. « Ta chambre est au premier étage, repose-toi bien. » Sur ce, il s’est rendu dans son bureau pour travailler. Céline s’est épanouie de joie tout de suite : « Comme c’est efficace ! » Dans le bureau, après un temps d’hésitation, il a