« Attends ! » Eva regardait Nathalie, a serré les dents et a demandé : « Où est Annabelle en ce moment ? » Nathalie a froncé les sourcils avec mépris, parce qu’en public Eva l’appelait toujours « Sœur Annabelle » avec respect. « Es-tu sourde ? » « Tout à l’heure, Anne lui a confié une mission, maintenant, elle est en train de travailler. » À ces mots, Nathalie n’a plus regardé Eva, et est directement sortie de la chambre. En fait, si elle était restée dans sa chambre, c’était parce qu’elles étaient toutes deux stagiaires. Ainsi, si Eva était rentrée en France, cela aurait aussi des conséquences pour elle. Eva, assise dans la chambre devant le miroir, a souri avec malice : « Elle n’est qu’une femme divorcée et abandonnée, elle ne peut jamais rivaliser avec moi. » À ce moment-là, Annabelle était vraiment en train de travailler. Selon la liste, elle a frappé aux portes, l’une après l’autre, pour communiquer avec les stars, son attitude était aussi agréable que douce, e
« Mais … » Nathalie voulait encore dire quelque chose, tout d’un coup, elle a vu Annabelle enlever son manteau, sur son chemisier, il y avait des taches de sang. Elle était étouffée par la panique et a dit avec stupéfaction : « Mon Dieu, ce qu’elle a dit, c’est vrai ! » En effet, elle avait pensé qu’Eva voulait calomnier Annabelle, ainsi, elle avait dévoilé tous ses complots à Annabelle. Annabelle s’est lavé les mains dans les toilettes avec un air calme, après que Nathalie s’était calmée, elle a dit en s’essuyant les mains : « Il n’est pas possible que je puisse tuer un homme dans une voiture, en plus, comment puis-je cacher son corps ? C’est impossible ! » Nathalie cherchait à se calmer : « Mais il y a encore du sang sur tes vêtements ! » « Cet homme est vraiment blessé, mais il n’osera pas du tout m’accuser. » Annabelle a souri et l’a remerciée. « Ne fais plus ces choses sans réfléchir, j’ai peur que tu deviennes le bouc émissaire. » Face au regard fermé d’Annabe
« Selon moi, je ne suis pas le seul à avoir une nouvelle fiancée. » Le regard profond et froid fixait le visage de Léo, et l’a alerté fermement : « Ne m’empêche plus d’entrer. Je ne crains absolument pas la famille des Pétain. » « Mince ! » Léo a été piqué à vif et voulait se ruer sur lui en brandissant ses poings. En même temps, Jacques était aussi furieux, et a demandé à Arthur de reculer un peu. « Ne vous battez pas devant ma porte », Annabelle a ouvert la porte et a froncé les sourcils, elle a haussé la voix, « c’est un espace public. Vous n’êtes plus des enfants, n’est-ce pas ? Ne faites pas de bruits dans le couloir. » Ayant entendu cela, les deux hommes se sont légèrement calmés. Léo s’est tout de suite avancé vers elle: « N’aie pas peur. S’il fait des bêtises, je le tuerai. » Les yeux de Jacques sont devenus un peu sombres, il avait un air mécontent. Annabelle a poussé Léo naturellement : « Léo, en effet, je sais bien qu’il venu me chercher. Ne t’inquiè
Les yeux de Jacques ont balayé la chambre, il s’est levé lentement et a laissé un chèque sur la table. « Annabelle, tu peux écrire un chiffre satisfaisant sur ce chèque. Je ne te donne que quinze heures pour y réfléchir. » Jacques voulait sortir de la chambre, en même temps, il a dit, « Tu n’as pas besoin de te venger de moi, au prix de ta vie, n’est-ce pas ? C’est ridicule de faire des bêtises comme ça. » Il a claqué la porte, à ce moment-là, Annabelle a serré les poings. Bien qu’elle l’emporte déjà sur lui, avec ses mots méprisants, elle est de nouveau tombée dans le doute. En effet, même s’il pouvait chercher à flatter Charles, ce dernier était aussi fâché de lui. Si Charles n’avait plus confiance en Jacques à cause de cela et qu’il ait trouvé d’autres collaborateurs, le plan d’Annabelle serait très réussi. Mais elle a regardé ce chèque, tout d’un coup, tous ses sentiments lui ont donné le sourire aux lèvres. Jacques était doué pour blesser les autres directement.
Céline avait un air ravi, elle savait bien que si elle était sage et douce, Jacques ne la détesterait jamais. Ils sont entrés dans le restaurant ensemble. Après avoir commandé le plat, ils ont entendu les personnes d’une autre table discuter des affaires d’Annabelle. « Il est normal qu’elle ait fait cela. Elle est très méchante. » « J’ai entendu dire que toutes ses collègues la détestent. Je ne sais pas pourquoi la Compagnie MON l’a embauchée ! » « Calmez-vous, les autres vont nous entendre. » « Je n’ai pas peur ! Elle va être condamnée à retourner en prison ! » Jacques a siroté du café avec un air tranquille, en revanche, Céline ne pouvait plus cacher son air satisfait. « Jacques, l’as-tu aussi entendu ? Annabelle est de nouveau interrogée par la police.Je ne sais pas pourquoi elle a fait ça, pourquoi a-t-elle de nouveau gâché sa vie ? » Elle avait un air affligé, mais elle n’était pas aussi douée qu’Annabelle, en plus, elle n’était pas une bonne actrice.
Une demi-heure plus tard, au poste de la police locale. Annabelle avait déjà compté quelques mille moutons, tout d’un coup, elle a entendu quelqu’un venir dans le couloir. Ensuite, quelqu’un a poussé la porte à l’extérieur. Jacques est venu, derrière lui, la lumière du couloir l’avait couvert. « Monsieur, vous avez dix minutes pour parler avec elle. » À ces mots, le policier a fermé la porte. Dans la chambre, il faisait très sombre. Seulement une lumière illuminait le visage d’Annabelle. Jacques la regardait et la trouvait à la fois tranquille et piquante à ce moment-là. En effet, elle risquait d’être arrêtée, voire condamnée à la prison par la police locale. Mais elle n’avait pas du tout peur et croyait certainement qu’il allait la sauver. Ensuite, le froid s’est emparé de nouveau de ses yeux. Il s’est assis devant elle : « Annabelle, as-tu bien réfléchi ? » Annabelle a souri : « Personne ne déteste l’argent. » Il a cligné les yeux, parce que son ton l’a mi
Quand Annabelle est rentrée dans l’hôtel, les nouvelles s’étaient déjà répandues. Le chauffeur qui avait disparu s’était rendu à la police, et avait dit qu’Annabelle était totalement innocente, c’était lui qui s’était blessé et qui était allé à l’hôpital en abandonnant sa voiture. Avec les plaidoyers de la victime, Annabelle était sortie. Mais il y avait encore quelques choses de bizarre dans cette affaire, en plus, elle avait déjà été condamnée à aller en prison. Ainsi, quand elle est entrée dans l’hôtel, tout le monde la regardait avec panique et voulait s’éloigner d’elle, à l’exception de Nathalie. Nathalie, tremblante, restait devant l’ascenseur et l’attendait : « Tu vas bien ? Qu’est-ce qu’ils ont fait ? » Annabelle a appuyé sur le bouton : « Si tu as peur, ne reste pas avec moi. » Nathalie a hésité, après avoir réfléchi, elle a secoué la tête : « Non, je n’ai pas peur. Je sais très bien que quelqu’un t’a calomniée. » La porte de l’ascenseur s’est fermée et
« Tais-toi ! » Céline a serré les dents et se sentait entouré par les regards méprisants des autres personnes. Juste à ce moment-là, un homme grand est sorti de l’ascenseur, derrière lui se trouvait Arthur. « Il est venu. Tu peux lui demander. » Annabelle a levé le visage d’un air tranquille, comme une étrangère. « Jacques, qu’est-ce qui s’est passé ? » Céline lui a immédiatement attrapé le bras, les yeux rougis, « il n’y a plus d’affection entre toi et elle, n’est-ce pas ? » Quand Annabelle avait été condamnée en prison, il y avait un an, ils avaient rompu toute relation. Annabelle mangeait des madeleines sur la table. En effet, elle n’avait rien mangé ce soir-là, ainsi, à cet instant, elle avait un peu faim. « Je vais t’expliquer plus tard. Demain, c’est le Met Gala, rentre dans la chambre et repose-toi. » Jacques la calmait. « Mais … » Céline voulait encore dire quelque chose, mais il avait déjà repoussé sa main. Elle a levé les yeux et a confronté ses yeux