Dès qu’elle a fermé la parte, une silhouette est apparue derrière elle.

Jacques a baissé la tête pour la regarder. Appuyant sur la porte d’une main, il l’a avertie à voix basse : « Ne sors pas. »

Annabelle a recgigné et a dit : « Les administrateurs de ton entreprise ne sont pas des monstres, je n’ai pas du tout peur. »

« J’ai peur, d’accord ? » a-t-il dit avec un soupçon de compromis. Ses mains sont tombées sur les épaules d’Annabelle. Elles étaient lourdes et chaudes.

Comme elle n’a pas pu résister à son poids, elle s’est penchée en arrière.

Elle a haleté de douleur en s’écrasant contre le mur.

Elle allait lever la tête pour gronder, quand elle a vu le visage de Jacques pâle, faible, mais il essayait toujours de supporter la douleur.

Annabelle a férocement serré les dents. Après l’avoir grondé à voix basse, elle l’a traîné avec toutes ses forces jusqu’au lit.

Cependant, il semblait être collé à elle, car elle ne pouvait pas le mettre au lit.

La seule chose qu’elle pouvait faire étai