À ces mots, les larmes d’Annabelle coulaient sur ses joues.

Même si la douleur sur ses lèvres ne se dissipait pas, elle refuserait toujours obstinément de baisser la tête.

Elle a souri avec dédain : « Tu aimes que les autres t’obéissent, n’est-ce pas ? C’est toi qui m’as dit que les hommes sont tous les mêmes. »

Jacques s’est figé et a vu ses yeux vides.

Elle avait pensé à tout avant de venir.

Jacques s’est dit : « Elle ferait vraiment n’importe quoi pour Léo. »

Finalement, il ne pouvait plus retenir sa colère. Il l’a follement embrassée et a mordu ses épaules comme une bête féroce, l’odeur d’alcool emplissant toute la pièce.

Annabelle se laissait ainsi manipuler par lui.

Elle retenait bien ce qui se passait ce soir, elle savait également qu’elle ne pouvait pas se cacher, car Jacques était trop doué pour le chantage.

Mais tôt ou tard, elle lui rendrait la pareille.

Soudain, Jacques s’est arrêté.

Furieux, il a regardé les marques sur le cou d’Annabelle et a froncé les sourcils.

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