Jacques la regardait.Annabelle l’a ignoré et a continué à sourire et a trinqué : « Puisqu’on s’est déjà séparé, il n’est donc pas nécessaire de s’accrocher au passé, je suis sûre que monsieur Jacques pense également ainsi, n’est-ce pas ? »Il restait immobile.D’un air abasourdi, Annabelle a dirigé son regard vers lui et lui a donné un léger coup de pied sous la table.Jacques s’est repris et a froidement répondu : « Non, ce n’est pas comme ça. »Annabelle s’est figée et s’est demandé : « Qu’est-ce qu’il a pensé ?! »Elle agissait de manière coopérative, pourquoi était-il distrait au moment critique ?Lorsqu’elle réfléchissait à une explication, les mots de Jacques l’ont étonnée, celui-ci a dit : « Si on veut encore maintenir la relation passée, c’est parce que l’une des parties veut retenir une autre partie. »À ces mots, Annabelle s’est figée.Au moment où elle a pris la parole, Jacques lui a donné une petite portion de steak : « Mange. »Il était délibérément si gentil avec Annabe
Annabelle avait encore sommeil : « Mon téléphone portable était en panne, je l’ai porté chez le réparateur. » « Sais-tu que Pascal a été cambriolé ? Il a été blessé et hospitalisé, nous allons le voir, tu viens ? » « Il a été cambriolé ? C’était quand ? » a demandé Annabelle en fronçant les sourcils. « Hier minuit. » C’était l’heure à laquelle elle avait quitté la villa de Jacques pour rentrer chez elle. Annabelle a serré ses dents en disant : « Où vais-je te retrouver ? » Ensuite, elle a quitté la maison. Mais ce qu’elle ne savait pas, c’était que la porte de sa maison serait ouverte par quelqu’un d’autre après son départ. « Dépêche-toi et ne laisse pas de traces. » « D’accord ! » Vingt minutes plus tard, à l’hôpital Central. Annabelle, Nathalie et Luc se retrouvaient à l’entrée principale de l’hôpital. Après que Nathalie lui ait fait part des détails de l’incident de Pascal, Annabelle était plus confuse. Elle s’est souvenue qu’après le tournage de ce jour-là,
« En effet, Pascal n’a pas été volé, il a été battu, l’assassin avait été envoyé par Jacques, Annabelle, tu le savais, n’est-ce pas ? » Annabelle a secoué sa tête : « Non, je l’ignorais. » Elle ne le savait vraiment pas. Laura a soupiré : « Ne fais plus semblant d’être innocente ! Pascal t’a cherchée ces deux derniers jours, il voulait bien parler avec toi, pour ce qui s’était passé dans sa voiture, il n’avait pas eu l’intention de le faire, tu l’as mal compris. » Mal le comprendre ? Furieuse, Annabelle a pris une profonde inspiration. Si ce qui s’était passé ce jour-là était considéré comme un malentendu, même un meurtrier n’aurait pas besoin d’assumer ses responsabilités juridiques. Elle a rapidement tiré une telle conclusion : Laura savait très bien la nature de Pascal et le contenu de la carte mémoire, par conséquent, il était probable que Laura soit l’une des protagonistes féminines des vidéos. Annabelle a froncé les sourcils et ne comprenait pas pourquoi il en était
Annabelle a froncé les sourcils : « Je ne m’intéresse guère aux affaires des autres. » Comme elle était toujours indifférente à ces affaires, elle ignoraittout des rumeurs au sein de la compagnie. Si Nathalie ne lui avait pas raconté les petites histoires, même à ce moment-là, elle ne saurait pas que Pascal était à l’hôpital. Nathalie la regardait, après une longue hésitation, elle a enfin dit : « Annabelle, en effet, j’aime ta façon de vivre. » « Tu aimes ma façon de vivre ? » Annabelle a froncé les sourcils, et a secoué la tête en souriant, « tu vois, même la façon de vivre de Luc est meilleure que la mienne. » Justement à cet instant, son portable s’est mis à vibrer, c’était un message envoyé par ses créanciers. Elle a jeté un coup d’œil sur l’écran et a directement versé l’argent que Viviane lui avait remis un peu plus tôt. Puis, elle a écrit tout de suite : « J’ai déjà discuté avec ton patron, la somme de mes dettes a changé. » Elle voulait rembourser cette som
Une femme l’a appelée et a agité la main vers elle au premier étage. C’était Yveline. En la voyant, Annabelle a remercié les employés puis est montée au premier étage. Yveline l’a présentée à certains stylistes de renom, qui jouissaient d’une excellente réputation sur la conception de parures, et parmi lesquels certains étaient plus doués qu’Yveline. Ainsi, quand Annabelle est arrivée, ils lui ont jeté un coup d’œil furtif et ont continué de bavarder. Mais Yveline, tranquille, l’a suivie au balcon. Elle a sorti une cigarette et s’est tournée vers Annabelle. Annabelle a souri : « Ce n’est pas grave. » Yveline a allumé la cigarette : « Es-tu allée à l’hôpital ? » Annabelle a hoché la tête. Yveline baissait la tête en souriant : « Jacques reste encore gentil. Ce Pascal doit aller en enfer, s’il reste styliste, ce serait un catastrophe. » Annabelle n’a pas répondu. Ayant remarqué qu’Annabelle ne s’y intéressait pas, Yveline a continué de fumer tranquillement
La nouvelle qu’Annabelle s’était substituée à Pascal pour participer à l’Exposition VK a été tout de suite été dévoilée par les employés de la Compagnie MON devant les journalistes. À ce moment-là, cette nouvelle s’est rapidement diffusée dans la sphère du divertissement. Certains ont dit que, tout compte fait, elle était la fille de la famille des Rouvroy, et avait appris la conception, ainsi, elle pourrait enfin se débrouiller. D’autres ont dit que quelqu’un l’avait certainement aidée. En plus, ayant lu les nouvelles consernant les relations entre elle et Jacques, quelques-uns ont prédit qu’ils se remarieraient. Lorsque Céline a entendu cette nouvelle, elle est devenue enragée. Bien qu’elle ait demandé de l’aide à plusieurs personnes, elle n’a pas obtenu d’invitation à l’Exposition VK. « Pourquoi est-ce si difficile ? Même Annabelle est parmi les stylistes de cette exposition, pourquoi je ne peux pas y participer ? » Elle a donné un violent coup de pied à une employée qu
En effet, Annabelle ne craignait pas d’essuyer un refus catégorique, mais elle n’avait plus de temps. À ce moment-là, son cœur battait la chamade, elle serrait les barreaux avec inquiétude : « Tous mes espoirs s’éteindront ici … » Tout d’un coup, elle a entendu des moqueries : « Oh là là, c’est Annabelle ? Mon Dieu, es-tu envoyée pour nettoyer la chambre par la Compagnie MON ? » Elle s’est tournée directement et a vu Céline, qui restait au coin de l’escalier avec un air ironique : « Dis donc, je suis justement passée par les coulisses, et j’ai entendu dire que Jeanne s’est foulé la cheville, est-ce vrai ? Mon Dieu, quelle coïncidence ? Or, ton destin est vraiment cruel, à peine as-tu été victime d’un enlèvement, que tu rencontres de nouveau des problèmes … » « Tais-toi, Céline. Regarde tes vêtements, tu es comme un paon dans un zoo, tu te prends pour une beauté ? » Annabelle lui a jeté un coup d’œil, l’a traversée et s’est avancée directement vers la salle. « Annabelle,
Ayant entendu son nom, les femmes privilégiées n’étaient plus surprises. « C’est elle ? Pourquoi la Compagnie MON a-t-elle choisi une telle femme ? » « J’ai entendu dire que son ex-mari était tombé de nouveau amoureux d’elle … » « Justement, tout à l’heure j’ai vu Céline. Ainsi, Jacques serait-il aussi venu ? » Elles s’intéressaient à ces rumeurs, par conséquent, pendant l’exposition, Céline a presque éclaté en sanglots dans les toilettes à cause de la jalousie : « Jacques, je t’en prie, peux-tu me chercher ? J’ai mal au ventre ! » Ce n’était pas la première fois qu’elle lui avait téléphoné prenant l’enfant comme prétexte. À ce moment-là, Jacques avait à peine fini une réunion et sortait de l’entreprise. Entendant sa voix dans ses AirPods, il a froncé les sourcils et avait un air de plus en plus sombre : « Je vais envoyer le chauffeur te chercher. » « Non, Jacques, peux-tu venir ? Je t’en prie ! » Elle le suppliait avec un ton très bas, mais avant qu’elle ai