« Tu as raison, c’est elle qui courtise Jacques, alors, c’est peut-être elle qui a calomnié Annabelle ! Elle a perdu notre temps ! » « Mais Jacques n’est pas encore sorti de la chambre ! Ils se sont embrassés dans la chambre ? » « Je pense que oui. Hier, ils se sont embrassés dans la voiture, n’est-ce pas ? » Ayant entendu tout cela, Céline était hors d’elle, mais elle ne pouvait faire qu’attendre devant la porte. À ce moment-là, dans la chambre, ayant entendu les conditions proposées par Annabelle, Jacques a répondu tout de suite : « C’est impossible. » Annabelle a souri : « Alors, je ne sais pas comment faire, on attend. Je te donnerai encore cette réponse même si appelles la police. » Les yeux de Jacques sont devenus tout à coup sombres. Ayant vu l’air indifférent d’Annabelle, il est devenu de plus en plus fâché. En même temps, elle a jeté un regard sur la montre, ce jour-là, le représentant de la Compagnie des Lumière venait à Grenoble, mais à ce moment
En dehors de la porte, Céline a haussé la voix : « Jacques, qu’est-ce qui se passe dans la chambre ? » Elle n’en pouvait plus, car Jacques était dans la même chambre qu’Annabelle depuis déjà une demi-heure et personne ne savait ce qui se passait entre eux. Annabelle regardait Jacques, qui l’appuyait sur la table. Un sourire lui est monté aux lèvres : « Monsieur Breteuil, votre fiancée vous cherche. » Fronçant les sourcils, Jacques regardait sa jolie figure, et a serré le poing. Mais à sa grande surprise, elle ne craignait pas la douleur et restait indifférente, bien que sa propre réputation soit gâchée, elle voulait encore se venger de lui. Au fond de son cœur, il y avait des sentiments tout à fait complexes, ensuite, son bras droit a touché la blessure sur le cou d’Annabelle. Elle a froncé les sourcils à cause de la douleur, puis, il lui a demandé : « As-tu peur maintenant ? » Sans lui répondre, elle a directement ouvert la porte. « Jacques ! » Céline a poussé
« Je … Je ne sais pas ! » Céline a baissé les yeux avec peur, mais a haussé la voix, « Peut-être que c’est elle qui a offensé quelqu’un ! » Jacques a serré les poings, et a dit lentement avec colère : « En plus, la dernière fois, si elle a ruiné nos fiançailles, c’est parce que les autres l’avaient menacée. Cette fois-ci, elle a même été envoyée à l’hôpital, Céline, je ne suis pas bête. » Elle était désemparée : « Jacques, je peux t’expliquer ! » Mais il était déjà monté dans la voiture pourpartir. Elle frappait la fenêtre et voulait l’arrêter, mais il ne la regardait plus. Quelques minutes après, le Cœur du Roi a été retourné et Céline s’est retiré sous prétexte qu’elle se sentait mal à l’aise. Les gens ont recommencé à filmer pour le magazine, en même temps, une nouvelle explosive se propageait : « Le directeur du Groupe Jac est retombé amoureux de son ex-femme et ils se sont embrassés au sein de la compagnie. » En plus, les journalistes ont ajouté que Jacques n’a
Il semblait qu’il ait oublié ce qui s’était passé la dernière fois. Annabelle s’est figée un instant avant de hocher la tête : « Oui. » Soudain, la voiture s’est arrêtée devant le feu rouge, Pascal a lancé un regard méchant à Annabelle : « Monsieur Leroi prend toujours soin des étudiantes, surtout celles qui sont belles. » Annabelle affichait un air surpris. Ensuite, Pascal a tourné le volant et s’est dirigée vers une autre petite route sombre. Les lampadaires alentours étaient très faibles, Annabelle a remarqué que son regard est devenu sinistre : « Pascal, qu’est-ce que tu veux dire ? » « Quoi ? N’oses-tu pas admettre ce que tu as fait ? » a-t-il demandé. Il a brutalement freiné, a fermement saisi le poignet d’Anabelle et l’a forcée à le regarder : « Une femme comme toi pouvait dormir chez le professeur pendant plusieurs heures et être très affectueuse avec ton ex-mari dans la rue, penses-tu être encore décente et pure ? » Annabelle a essayé de se libérer de sa main e
Soudain, elle a entendu un bruit perçant, c’était une voiture qui s’était arrêtée à côté d’elle.Après avoir épuisé toute son énergie, Annabelle ne tenait plus et est tombée par terre.« Ne m’approche pas ! » a-t-elle prononcé avant de s’évanouir.Le sang sur le cou d’Annabelle a taché le costume de l’homme.Il l’a froidement regardée : « Annabelle, réveille-toi ! »Dans son état de demi-conscience, Annabelle a semblé entendre quelqu’un l’appeler.Mais elle était vraiment trop fatiguée et ne pouvait pas ouvrir ses yeux, en un clin d’œil, elle avait terriblement froid. Elle ne pouvait instinctivement que déplacer son corps vers l’endroit où elle sentait chaud, sa main sondant derrière elle a touché une personne, cette dernière était chaude. Elle s’est immédiatement pressée contre cette personne. « Réveille-toi ! » a crié l’homme. Elle s’est dit : « La voix de cet homme est semblable à celle de Jacques, mais Jacques est-il aussi gentil avec elle ? La voix a manifesté que cet homm
Lorsqu’Annabelle s’est réveillée, elle a découvert qu’elle se trouvait dans une chambre inconnue. Les décorations luxueuses et l’odeur de parfum flottant dans l’air la rendaient lucide. Elle s’est demandé : « Ai-je été attrapée par Pascal ? Où suis-je ? » Après s’être soudainement redressée sur le lit, Annabelle ignorait sa douleur et s’apprêtait à sortir, pieds nus. Mais alors qu’elle est sortie du lit, elle a vu l’homme sortant de la salle de bain. « Toi ! » Elle a demandé en criant : « Jacques, pourquoi es-tu là ? » Était-il de connivence avec Pascal ? Ou bien... Jacques l’a froidement regardée et s’est approché d’elle, voulant toucher son front et savoir si elle avait fièvre. Avant qu’il ne puisse le faire, sa main a été repoussée par Annabelle, celle-ci a dit : « Ne m’approche pas ! » L’homme s’est figé, son regard devenant froid. Il s’est demandé : « Pourquoi cette femme est-elle devenue si épineuse après s’être réveillée ? » Annabelle l’a ignoré et est
« Allez-vous le dire à Jacques ? » a demandé Annabelle. Le médecin a hoché sa tête et lui a répondu : « Oui, je dois le faire. » « Vous lui direz directement que j’irai mourir bientôt, d’accord ? » a demandé Annabelle d’un ton très sérieux. « Mais… » Annabelle a repris : « Aidez-moi, je vous en supplie ! » ... Dans le Groupe Jac. Lorsque Jacques est sorti de la salle de réunion, Arthur s’est immédiatement dirigé vers lui en disant : « Docteur Petit a dit que la maladie d’Annabelle est très compliquée et qu’il est probable qu’elle soit blessée à la tête, il vaut donc mieux aller à l’hôpital pour faire un check-up, sinon, il craint qu’elle ne sombre dans la dépression. » À ces mots, l’homme s’est arrêté et a demandé : « Quoi ? » Arthur a baissé sa tête : « C’est ce qu’a dit le docteur Petit. » Jacques a froncé ses sourcils et est entré dans son bureau. Arthur a continué à parler du travail de la semaine prochaine : « Monsieur Vincent est déjà retourné à l’entreprise
Remarquant le regard froid de Jacques, Céline était paniquée. Avec un sourire enjôleur, elle s’est approchée de lui et a essayé de tirer son vêtement, mais avant qu’elle ne puisse le faire, Jacques l’a esquivée. Ensuite, Arthur a frappé à la porte : « Monsieur, monsieur Vincent veut vous voir. » « Je vois. » Cela dit, Jacques s’est levé et a regardé Céline : « Il vaut mieux qu’on ne se voie pas pendant un moment, ainsi, on pourra se calmer l’un l’autre. » Puis, il est parti. Céline était assise sur le canapé du bureau de Jacques avec un regard haineux : « C’est certainement Annabelle, le problème ! » ... Annabelle était forcée à rester dans la villa et avait passé une journée très ennuyeuse. Le midi, les servantes étaient venues travailler, mais sous les ordres de Jacques, elles se contentaient de baisser leurs têtes et de travailler sans prêter attention à Annabelle comme si celle-ci n’existait pas. « Quand Jacques a-t-il acheté une telle villa ? » « Qu’est-ce qu